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Rencontre Kadhafi Obama

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Changements intervenus en Europe et le rôle central de lOTAN qui a rendu ces changements possibles. Pas Cuba au Sommet des Amériques., nous envisageons de ne pas A la veille du qui souvre jeudi à Pittsburgh, le président américain a affirmé que ce sommet devait permettre de renforcer la réglementation de tous les centres financiers. A Bani Walid 170 km au sud-est de la capitale, un journaliste de lAFP a vu des véhicules pro-CNT sortant de la ville se positionner une vingtaine de kilomètres plus loin, mais aucun commandant nétait disponible pour préciser létat des combats dans la vaste oasis au relief accidenté, interdite daccès aux journalistes. Le Programme alimentaire mondial PAM a annoncé avoir distribué une aide alimentaire aux milliers de personnes ayant fui Bani Walid. LOtan, qui soutient militairement le CNT, a annoncé avoir touché lundi sept objectifs militaires à Sebha, bombardé Syrte et Bani Walid, et intensifié les frappes sur Waddan dans loasis de Djofra 200 km au sud de Syrte. Retrouvez chaque matin le meilleur des articles de korii, le site biz et tech par Slate. Vous soulevez de bonnes questions, je vais y réfléchir. Nous pouvons en discuter si vous souhaitez me contacter par mail rubrique A propos. Il appelle à refonder le système monétaire international, le FMI et la Banque mondiale. Et à la prise en compte du selon lequel il faut revoir les critères avec lesquels la croissance est mesurée. Défis environnementaux A Washington, M. Obama sest montré encore plus clair: Kadhafi doit quitter le pouvoir et le rendre aux Libyens, et la pression ne fera que sintensifier jusquà ce quil le fasse. Le président américain a aussi assuré voir une tendance inexorable vers le départ du colonel Kadhafi. Décision était alors, comme aujourdhui, qualifiée dhistorique. Et comme toutes les escroqueries, lingérence est une histoire qui immanquablement finit très mal. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. rencontre kadhafi obama Le face-à-face, au début, fut glacial. La rencontre entre Barack Obama et Vladimir Poutine lundi soir à New York était la première depuis 2013 et les deux présidents venaient dafficher leurs divergences sur le sort à réserver à Bachar al-Assad même si lun et lautre se disent prêts à collaborer pour trouver une solution au conflit. Mais à lissue de la rencontre, longue de 90 minutes, lhomme fort du Kremlin déclarait, rayonnant, que lentretien avait été constructif et étonnamment ouvert. Puis de renchérir : Selon moi, il existe une base de coopération pour nos problèmes communs. Côté américain, on est plus discret, mais un haut diplomate reconnaissait un désir commun de réfléchir aux moyens de pouvoir traiter ce qui se passe en Syrie. rencontre kadhafi obama Et lorsquà son arrivée au Sénégal, il parle dhomosexualité, personne nest dupe. Tout le monde a compris quaujourdhui, le thème de lhomosexualité est utilisé par lOccident en Afrique pour faire diversion et éviter que les vrais sujets qui fâchent soient abordés. Et ça marche à chaque fois. Ainsi, plutôt que de se demander si leur président Macky Sall peut effectuer une vraie rupture avec le franc CFA qui appauvrit tous les pays africains qui lutilisent, les Sénégalais se sont divisés entre ceux qui étaient pour leur président qui sest déclaré contre lhomosexualité ou pour le président américain qui avait sciemment posé le thème. Hugo Chávez terminera sa tournée au Portugal à la fin du week-end, pays avec lequel il a renforcé ses liens notamment grâce au travail du premier ministre portugais, José Sócrates, quil doit justement rencontrer aujourdhui 24 octobre, à Lisbonne. Le leadership en retrait, sil a été et demeure très critiqué par les élites politiques, les experts et les commentateurs de tous bords, a été en revanche largement validé par lopinion américaine. Cest ce que montre le Chicago Council on Global Affairs, dont létude annuelle sur lopinion publique américaine en politique extérieure fait référence. Son édition 2012 confirme la lassitude de la population américaine dans son ensemble vis-à-vis de laventurisme extérieur de ses dirigeants : 38 des Américains disent même vouloir que les États-Unis restent à lécart des affaires du monde, le chiffre le plus élevé depuis la première étude en 1947. Ce sentiment est même majoritaire dans la jeune génération les 18-29 ans ou Millenials, qui sont 52 à vouloir que leur pays adopte un rôle plus en retrait vis-à-vis du reste du monde, comparé à 35 pour les autres classes dâge à linverse, les plus favorables à un rôle actif sont les plus de 60 ans. À limage du président et de lAmérique de demain? Cest une question à suivre. Enfin, le Chicago Council accorde un chapitre entier à la Libye intitulé un modèle pour de futures interventions? qui sinterroge sur la perception du fait que les États-Unis nont pas joué le rôle principal, laissant le leadership à la France et à la Grande-Bretagne. Cette évolution apparaît comme éminemment acceptable pour le public américain : seuls 7 considèrent que Washington aurait dû avoir le premier rôle, tandis que 72 estiment que les États-Unis ont fait le bon choix en ne simpliquant pas en première ligne en Libye 19 pensent que les États-Unis nauraient pas dû participer du tout. rencontre kadhafi obama.